La Trilogie de Cheikh Marîd

 

 

Introduction

 

Des romans cyberpunk orientaux, voilà qui est original. Mais l’originalité n’est pas le point fort de cette trilogie. Une histoire bien ficelée, des personnages intéressants, voilà qui en assure le succès. C’est une série évolutive, c'est-à-dire que la situation de Marîd au début de chaque roman dépend directement de la fin du précédent. Je vais donc essayer de ne pas tout gâcher…

 

Tome I : Gravité à la Manque (9/10)

 

XXIIème Siècle. Marîd Audran, détective privé dans le Boudayin, une grande ville Proche-Orientale, rencontre dans une boîte de nuit un diplomate russe qui lui demande de chercher son fils ; James Bond (ou plutôt un homme qui a une puce James Bond branchée sur le cerveau) fait alors irruption et tue le russe…C’est alors le point de départ de la pire des emmerdes pour Marîd… Pris entre deux feux au milieu d’un règlement de compte international, enlevé par un parrain local, il va être obligé de choisir entre sa vie et sa morale, tout en essayant d’arrêter les tueurs des deux camps… et de se raccommoder avec sa petite amie…

 

Tome II : Privé de Désert (9/10)

 

Marîd, après avoir retrouvé sa vieille prostitué de maman, est chargé par papa de travailler avec la police. On lui assigne donc un équipier, un esclave, et une mission : surveiller un concurrent direct de Friedlander Bey. Mais que serait le Boudayin sans ses gateaux au miel, ses boites de nuits, ses trans et ses tueurs sadiques ? La mort va donc frapper autour de Marîd, sans compter que Yasmin lui en veut toujours…

 

Tome III : Le Talion du Cheikh (7/10)

 

Accusés d’un meurtre qu’il n’ont pas commis, Papa et Marîd sont livrés au désert d’Arabie. Sans eau, sans vivres, ils vont devoir rentrer au Boudayin, découvrir les traîtres et les châtier durement. Les épreuves les attendent : le désert, les bédouins, les sables mouvants, les traîtres, les amis, et Yasmin qui n’aime pas les hommes mariés…

 

Retour à la Petite Salle Obscure