L’Ordre des Pélécaniformes

 

1.       Famille : Les Pélécanidés

 

Genre Pelecanus

Pelecanus conspicillatus

Pelican à lunettes

Pelecanus crispus

Pélican frisé

1809pelican.JPG

 

 

VU

Pelecanus onocrotalus

Pélican blanc

 

 

LC

Pelecanus philippensis

Pelican à bec tacheté

Pelecanus thagus

Pélican thage, Pélican péruvien

Photos Mexique Guatemala Perou 309.jpg

 

NT

 

1.       Famille : Les Phalacrocoracidés

Genre Phalacrocorax

Phalacrocorax aristotelis °

Cormoran huppé

cormoran huppe.JPG

 

LC

Phalacrocorax carbo °

Grand cormoran

grandcormoran.JPG

 

 

LC

Phalacrocorax gaimardi

Cormoran de Gaimard

cormorangaimard.JPG

 

 

NT

Phalacrocorax pygmaeus

Cormoran pygmée

 

 

LC

 

2.       Famille : Les Sulidés

 

Genre Morus

Morus bassanus °

Fou de bassan

fou de bassan.JPG

 

LC

Morus capensis

Fou du Cap

 

VU

Morus serrator

Fou austral

 

LC

 

Genre Papasula

Papasula abbotti

Fou d’Abbott

 

Genre Sula

Sula dactylatra

Fou masqué

Sula granti

Fou de Grant

Sula leucogaster

Fou brun

Sula nebouxii

Fou à pieds bleus

Sula sula

Fou à pieds rouges

Sula tasmani

Fou tasman

Sula variegata

Fou varié

fouvarie.JPG

 

3.       Famille : Les Frégatidés

 

Retour aux Oiseaux

 

 

RAPPEL : Les liens pour chaque espèce dirigent vers des sites où l’on peut voir des illustrations de l’espèce donnée. Le contenu de ces sites n’est pas vérifié.

 

° Cet oiseau est présent toute l’année sur une grosse partie du territoire métropolitain

° Cet oiseau est présent l’été sur une grosse partie du territoire métropolitain

° Cet oiseau est présent l’hiver sur une grosse partie du territoire métropolitain

° Cet oiseau est surtout présent en période migratoire sur le territoire métropolitain

° Cet oiseau est présent toute l’année sur de petites zones du territoire métropolitain

° Cet oiseau est présent, mais très rare sur le territoire métropolitain

 

Bibliographie essentielle

 

 

ATTENTION ! Ce site n’a pas pour prétention ni objet d’être parfaitement exact ou surtout exhaustif. Premièrement, parce qu’il faudrait des milliers de vies pour répertorier toutes les connaissances actuelles sur le vivant ; ensuite parce que ces connaissances sont perpétuellement remises en cause et/ou affinées ; enfin parce que je ne suis jamais à l’abri d’une erreur, soit dans le choix de mes références, soit dans ma compréhension, soit dans ma retranscription.

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